Si l’ouverture de la COP 26 à Glasgow nous rappelle la nécessité de réduire nos émissions de CO2, il est impératif que la transition écologique ne se réduise pas à des effets d’annonce.
Pour cette raison, le Sénat a voté définitivement ce mardi 2 novembre la Proposition de loi de Patric CHAIZE (Les Républicains, Ain) visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France.
Ce texte sénatorial est en réalité une réponse très concrète à l’un des plus grands enjeux de la transition écologique, celui de l’empreinte environnementale du numérique.
Le numérique, qui est un formidable outil au service de la transition écologique et de la sobriété énergétique, a lui aussi des répercussions environnementales.
Ce texte, qui va pouvoir immédiatement entrer en vigueur, vise donc à tirer le meilleur des nouvelles technologies en abordant 5 chantiers :
- la sensibilisation du public,
- la limitation du renouvellement des terminaux,
- le développement des usages écologiquement vertueux,
- la promotion de la sobriété des centres de données,
- et enfin favoriser des stratégies numériques responsables pour les collectivités.