Jacqueline EUSTACHE-BRINIO et Arnaud BAZIN s’étonnent de la démarche tardive des députés La République en Marche du département, qui viennent de demander un rendez-vous au Premier ministre afin d’envisager un « plan B » après l’abandon du projet EuropaCity.
En effet, alors que la parole de l’État est définitivement discréditée par ce renoncement, l’implication des parlementaires de la majorité présidentielle et une intervention de leur part en amont auraient sans doute été plus utiles aux acteurs économiques et élus locaux porteurs du projet.
Les députés LREM ne peuvent pas décemment proposer un très hypothétique « plan B » à trop lointain horizon à un territoire meurtri par l’abandon de l’État.